La Voie Douce Coaching

Guérison spirituelle et pouvoir de choix de vie conscient

La chance n'est ni une superstition ni une utopie

Le 06/10/2025 0

Dans Spiritualité

Si "il n'y a pas de hasard" le bonheur est-il vraiment possible ?

Voilà bien longtemps que je n'ai pas eu l'impulsion d'écrire sur ce blog. J'étais plutôt focalisé sur ma cha^ne YouTube et le Podcast que j'y publie.

Figure-toi que c'est une petite mésaventure qui me conduit à reprendre la plume ou plutôt le clavier. en effet, le son de mon dernier enregistrement était si mauvais que j'ai décidé de le publier sous forme d'article et d'enregistrer autre choses pour ma chaîne YouTube.

Où en suis-je aujourd'hui ?

Si tu n'as pas suivi mes aventure sur YouTube, il y a quelques mois j'ai demandé aux Anciens de me débarrasser de toutes les limitations inconscientes qui m'empêchent d'être heureuse. Je ne me souviens plus si j'avais parlé de ça sur le blog mais bref, le fait est que suite à cette demande et après quelques mois bien difficiles, je commence enfin à me sentir mieux.

Voici les amélioration qui se sont installées :

  • Je suis sortie de cette spiral d'anxiété intense inhérente à un état de stress post traumatique et je goûte enfin à une certaine sérénité, une certaine paix que je n'avais pas ressenti depuis très très longtemps. Même si je suis loin d'être arrivée au bout du chemin je me sens quand même vraiment plus apaisée et plus confiante en mon futur, en ce que la vie peut m'apporter, et pour moi c'est une preuve s'il en fallait une que le travail des Ancien sur mes traumatismes fonctionne vraiment.
  • En quelques mois j'ai déjà des résultats tangibles. J'ai notamment une nette amélioration de mes symptomes avec encore des fluctuations et quelques retrours en arrière mais globalement mon corps va nettement mieux.
  • J'ai aussi beaucoup plus de fluidité dans ma créativité, que je perçois à travers mes créations de bijoux qui commencent à s'étoffer, à être plus abouties. J'ai moins de périodes de blocages où je sens que mon cerveau est englué et refuse de fonctionner. Je pensais sincèrement mettre beaucoup plus de temps à atteindre cette état. 

Ce qui me confirme que ces améliorations sont bien acquises c'est que depuis quelques temps les Anciens m'encouragent à passer à l'action de manière plus affirmée sur mes projets et notamment à partager un peu plus ma sagesse (comme ils disent) à travars mon Podcast et aussi sur ce blog.

Cela participe à ma guérison puisqu'en adoptant des comportements de ce genre je me permet de vivre des expériences qui donneront l'occasion à mon inconscient de réécrire de nouvelles croyances plus positives et soutenantes. Des croyance de confiance en soi, de légitimité et d'estime de soi. Je me lance donc pour partager avec vous ce qui m'a soulagé, soutenu et réconforté au fil du temps, bref, ce que j'ai tiré des mes expériences de vie et de ce que m'ont enseigné les Anciens.

"Il n'y a pas de hasard." Vraiment ?

Ces derniers jours j'ai repensé à cette phrase qu'on entend souvent dans le milieu de la spiritualité : "il n'y a pas de hasard".

Je trouve que c'est assez vrai mais je ne suis pas certaine que la compréhension qu'on a habituellement de cette phrase soit juste. J'ai l'impression qu'elle sert surtout à justifier l'existence de la souffrance dans nos vies, à la normaliser en lui prêtant une finalité vertueuse. Je ne suis pas de cet avis.

Les Anciens m'ont toujours répété que la souffrance est une anomalie et qu'aucune âme ne choisit la souffrance pour son incarnation.

Et je pense qu'on peut ajouter à cela le fait que nous sommes maîtres et maîtresses de nos vies et qu'il n'existe pas d'instance spirituelle supérieure qui nous imposerait certaines expériences douloureuses pour soit-disant nous faire évoluer...

Pourquoi dis-je qu'une telle instance n'existe pas ? Parce que si on part du principe que ce monde est créé par amour, priver les êtres de leur liberté en leur imposant des étapes de parcours, pour moi ce n'est pas de l'amour, c'est être contrôlant. Et c'est encore plus pernicieux si ces étapes imposée se révèlent être de la souffrance imposée.

De plus les Anciens m'ont enseigné que nous n'avons pas besoin de faire évoluer nos âmes car elles sont pures et parfaites lorsqu'elles sont hors de la matière. Et que nous nous incarnons justement pour faire évoluer le monde humain terrestre afin que celui-ci soit de plus en plus le reflet de cet amour pur qui compose notre essence, et qui fait exister et perdurer la vie malgré le chaos.

Effectivement nos vies ne sont pas le fruit du hasard, elles sont le fruit de nos choix, instant après instant. La souffrance n'est donc pas obligatoire selon je ne sais quelle loi de l'existence.

Pouvons-nous provoquer chance et malchance ?

A cette question je réponds oui et non.

Oui parce que nous sommes et restons maîtres de nos choix et que chaque choix que nous faisons nous mène vers une direction chanceuse ou une autre malchanceuse. C'est le"jeu" (très sérieux) de la vie et c'est en expérimentant qu'on apprend à naviguer à travers les obstacles et à les éliminer progressivement. Du moins c'est ce qu'on devrait logiquement faire.

Mais que se passe-t-il si on nous apprend de génération en génération à accepter certaines souffrances comme inéluctables, certaines contraintes comme étant obligatoires voire nécessaires ? On apprend tout simplement à ne pas refuser la soufrance, à ne pas s'en détourner et même à choisir la souffrance pour survivre socialement. C'est complètement paradoxal.

Parce que ce qu'on appelle la souffrance c'est ce qui se produit lorsque nos systèmes de protections sensoriels, émotionnels et nerveux nous signalent que le milieu dans lequel nous évoluons ou que le comportement que nous adoptons menace notre survie. Bien sûr le niveau de menace n'est pas toujours le même et nous pouvons plus ou moins supporter la souffrance qui nous sert de signal d'alarme, qu'elle soit physique ou morale. Mais cela reste un signal d'alarme que nous choisissons d'ignorer parce que notre éducation et notre culture nous a dit que c'est ce qu'il fallait faire ou parce que les ignorer était la seule façon de survivre dans le contexte précis dans lequel on a grandi (en cas de maltaitance dans l'enfance par exemple).

Et en réalité pour moi cela revient au même. Je pense que les principes culturels et familiaux qui se sont développés et transmis au fil du temps résultent bien souvent d'expérience douloureuses ou désagréables qu'on a voulu contourner. Comme par exemple les règles qui régissent la vie en commun qu'on a probablement inventé au départ pour préserver l'harmonie au sein du groupe. Le problème s'est posé lorsqu'une seule définition de l'harmonie s'est vue imposée au collectif par une petit groupe d'individus dominants. Et je pense que cette construction sociale remonte probablement au temps des cavernes. Mais n'allons pas nous perdre dans ces sujets complexes et revenons à nos vies d'aujourd'hui.

Il est donc possible de tenir les rênes de sa vie et de l'orienter vers la chance lorsqu'on arrive à se défaire de ces injonctions qui nous sont transmises depuis tant de générations que nous ne nous apercevons plus de leur anachronisme, de leur inefficacité, de leur injustice ou de leurs effets néfastes.

Nous sommes habitués à souffrir, nous ne nous rendons plus compte que nous souffrons et si nous sentons que nous souffrons nous attribuons une autre cause que celle-là à nos souffrances.

Comment se redonner de la chance ?

Le monde tel qu'il est construit c'est à dire les systèmes que nous avons mis en place au fil des époques ont visiblement leurs limites et leurs failles. Ils suffit pour cela de constater comment la violence est encore si présente alors même que nos système sont sensés être garants de l'ordre et de la justice.

Et je ne parle pas ici uniquement des système cociétaux, politiques, économiques, etc. Je parle aussi des systèmes inscrits dans nos groupes familiaux. Ceux que nous transmettent nos parents qui ont vécu des expériences plus ou moins douloureuses et essayent par tous les moyens de nous en préserver, parfois en nous inculquant des principes de violence envers soi-même parce qu'il faudrait s'endurcir puisque la vie est dure par exemple.

Force est de constater qu'il devient quasi impossible de changer son destin lorsqu'on a tiré un mauvais numéro à la loterie de la vie : pauvreté financière, manque d'accès à la connaissance et donc à un certaine forme d'éveil de l'esprit, violence et maltraitance dans le milieu familial, etc.

On pourrait alors se dire "à quoi bon" et j'ai l'impression que beaucoup de gens vivent sans espoir, un peu en pilote automatique car ils ont l'impression que rien ne peut changer et que de toutes façons il faut bien continuer, éteindre ses rêves et simplement continuer d'avancer. Payer son loyer, ses factures, aller en vacances si on peut, faire un peu de shopping pour se ditraire, supporter d'être mal traité ou mal considéré au sein de sa famille parce que c'est la famille quand même, idem au sein de son travail parce qu'il faut bien gagner de l'argent, etc.

J'ai moi-même tiré un assez mauvais numéro à la naissance ou devrais-je dire à l'incarnation. Et même si mon âme savait dans quoi elle s'embarquait, la petite Marie qui avait oublié sa vie d'avant l'incarnation s'est débatue dès le début pour survivre dans des conditions difficiles.

Ma perspective a changé lorsque j'ai compris que nos vies ne se limitent pas à la vie terrestre. Notre conscience est une part importante de nous-même et elle n'a pas besoin d'un corps pour exister. De ce fait il est possible de communiquer avec ceux qui ne sont plus de ce monde afin qu'ils puissent nous aider à y voir plus clair et même à guérir nos souffrances (rappelons-nous qu'ils sont tout amour et n'ont aucune intention malveillante).

C'est vraiment ce qui m'a sauvé de moments très durs où j'ai même pensé mettre fin à mes jours tellement je ne voyais pas d'issue. Et ce n'était pas une foi aveugle comme on peut développer lorsqu'on s'attache à une religion ou une autre. Pour moi cela a toujours été très concret ce partenariat avec les Anciens. Bien sûr il a débuté avec des principes éronnés et toxiques qu'on m'avait transmis à travers le New Age et certaines religions mais par la suite j'ai mis à l'épreuve ces perceptions que la plupart des gens pense illusoires et qui sont pourtant bien concrètes.

Le but de cet article n'est pas de prouver ou non la réalité de cette communication avec les défunts mais de relater mon expérience et comment j'ai repris espoir et suis en train de transformer un parcours de vie extrêmement difficile en quelque chose de plus doux, de plus joyeux, plus paisible, plus en accord avec qui je suis profondément. Cela semble presque utopiste de dire les choses comme ça mais j'ai en moi la certitude que collaborer avec les Anciens est le seul moyen réellement efficace pour modifier nos conditions humaines.

Cela ne veut pas dire devenir des être éthérés, flottants, dégagés de toutes considérations matérielles. C'est même exactement l'inverse, selon moi il s'agit d'inviter la spiritualité dans la matière, dans nos métiers, dans nos systèmes. Et comme nos systèmes ne changeront que lorsque suffisamment d'individus auront changés c'est-à-dire seront libéré de ces injonctions et contraintes inutiles et néfastes, je partage à qui veut l'information qu'individuellement nous pouvons faire cette demande aux Anciens d'être aidés à nous libérer de tout ce qui nous empêche d'être heureux.ses. Ca n'engage à rien et ça peut vraiment tout changer. Pas du jour au lendemain certes, mais je pense que c'est la garantie d'un futur bien meilleur lorsque le présent est trop chargé de souffrances.

Je crois que c'est le meilleur moyen de se réapproprier sa chance et de pouvoir contourner les contraintes qui voudraient nous maintenir dociles, serviles et bien rangés dans une boîte.

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Marie - Coach de vie, médium, thérapeute énergéticienne

Âme sensible, créative et spirituelle, neuroatypique (THPI+TSA+TDAH), amoureuse de la vie et du bonheur.

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